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La police affirme avoir arrêté 15 personnes en Corée du Sud. Elles sont suspectées d'avoir engagé les pirates et de les avoir installés dans un large réseau de jeux en ligne pour qu'il puisse ensuite s'y infiltrer et voler les données personnelles des inscrits. Ces dernières auraient ensuite été utilisées pour créer de faux profils mis en vente pour le joueurs en ligne. Le hacking rapporte 55% du montant de la vente aux pirates, dont le séjour en Chine est pris en charge par la branche criminelle en Corée du Sud.
La police confirme que les hackers, diplômés d'universités d'élites en Corée du nord, peuvent sans trop de difficulté s'infiltrer dans les réseaux de grandes agences, pour y voler des informations ou y propager des logiciels malicieux. De nombreux officiels émettent l'idée que ces attaques rentrent dans le cadre de la « cyber-terreur » créée par la Corée du Nord sur son ennemi du Sud. Néanmoins, Pyongyang n'avoue rien, prétextant que la Corée du Sud invente une conspiration pour aviver leur confrontation.
A ce propos, l’opération « Shady RAT » révélée par McAfee le 3 août visait notamment la Corée du sud. D’après des experts en sécurité informatique, 72 organismes officiels ont été ciblés, dont l'ONU, les gouvernements allemands ou américains, ainsi que de nombreuses entreprises. Cette vague cybercriminelle a duré (dure ?) depuis 2006.
Source: Reuters