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L’article publié sur malwarecity.com nous donne quelques données intéressantes. Ainsi, une des études réalisées par leur soin montre que 72% des personnes interrogées ont cherché et accédés à des sites pornographiques. Une autre étude indique que 29% des liens qualifiés adultes étaient infectés (étude réalisée sur 1000 URLs). Conclusion, les sites spécialisés dans le charme sont les plus à même de contaminer votre ordinateur. Comment ? La méthode est toujours la même…Explications.
Admettons que nous allions sur Internet et que nous tapions dans un moteur de recherche une suite explicite de mots. Les résultats montrent en priorité des noms de vidéos de filles en pleine action. La plupart de ces vidéos sont hébergées sur des sites de streaming, au contenu uniquement accessible en ligne. En revanche, certains sites proposent de télécharger du contenu : un lecteur vidéo, des films complets et gratuits, des modules de « Tchat »…C’est par cette faille que bien souvent les malwares parviennent à entrer dans un ordinateur. Si en plus vous entrez votre adresse mail pour obtenir le droit d’entrer ou pour recevoir des produits privés, vous multipliez le risque d’infection.
La contamination par cheval de Troie joue sur plusieurs facteurs : le fait que l’internaute désire obtenir du matériel rapidement : Il n’aura pas envie de passer trop de temps à vérifier les extensions des liens. Grave erreur, puisque les Trojans se repèrent ainsi. En effet, les extensions « .exe » indiquent un fichier exécutable, donc un programme…certainement un virus. Les fichiers vidéo ont des extensions particulières (.avi, .mov…) et sont souvent indiquées par une icône spéciale dans le gestionnaire de téléchargement. Plus direct, les modules de communications (pour le chat en ligne et les rencontres coquines) sont des exécutables, mais leur légitimité ne pourra être vérifiée qu’à l’aide d’un bon antivirus.
Pire encore, certains sites pornographiques « conventionnels » peuvent être attaqués et du code malveillant injecté. Il n’est pas rare de trouver des liens infectés sur des sites légitimes, victimes de pirates qui auraient réussi à héberger leur contenu au vu et au su des webmasters.