-
- Espace partenaires
- Proposer un logiciel
-
- Qui somme-nous ?
- Mentions légales
-
- Contact
- Nous écrire

Le virus informatique doit son appellation au virus biologique et hérite par voie de conséquence de tout le vocabulaire attribué à ce dernier : infection de fichiers, contamination, attraper un virus, éradiquer un virus, etc. On parle de virus informatique pour désigner un petit programme qui vient s’intégrer au corps d’un logiciel existant, et dont l’intention est de se reproduire dès l’ouverture de ce logiciel. Il existe différentes « familles » de virus : les virus macro (qui infectent seulement les documents type Excel, Word, etc.), les virus d’applications (qui infectent les fichiers exécutables), les virus de secteur d’amorce (ils infectent la zone du disque dur lue en premier lors du démarrage) et les vers (virus de mails) Le logiciel infecté fonctionne donc différemment, ainsi que le fait toute cellule atteinte d’un virus biologique. Au même titre que le virus biologique, le virus informatique doit trouver un « hôte », qui est un logiciel légitime qu’il viendrait contaminer…
Il va ensuite naturellement chercher à se propager dans d’autres ordinateurs afin de poursuivre le cycle de contamination. Il est néanmoins possible que le virus existe mais soit, au même titre que le virus biologique, considéré comme « porteur sain » ; dans cette configuration, cela peut prendre un peu de temps avant que l’on s’aperçoive de sa présence! Le ver (worm) est un virus réseau. Il se caractérise notamment par le fait qu’il se propage sans avoir besoin de support logique tel qu’un fichier, un programme hôte ou un disque dur. Les worms se répandent très vite, grâce aux messageries en envoyant des copies d’eux même à l’ensemble du carnet d’adresses de l’ordinateur infecté. Véhiculés par les emails les vers prennent la forme de fichiers .exe (exécutables en flash), .doc (document Word), .xls (document Excel), .zip (fichier compressés) par exemple et s’activent lorsqu’un destinataire lance le fichier attaché.