Pourquoi opter pour Office 2013?

Récemment, Redmond avait choisi de mettre un terme à l’utilisation de sa suite bureautique Office 2003. De nombreux utilisateurs étaient alors contraints de changer de fournisseur ou bien d’effectuer une mise à jour vers la version 2013 du logiciel, aujourd’hui qualifié le plus célèbre au monde dans le domaine de la création et d’édition de fichiers. Microsoft semblerait avoir trouvé avec sa mouture de 2013, les qualités nécessaires pour faire taire toutes polémiques et satisfaire amplement aux attentes des utilisateurs. Ces derniers étant dans une mauvaise posture avec cette migration forcée, toutefois, l’édition 2013 représente un panel non négligeable d’améliorations contribuant à l’ergonomie de la suite.

Avec Word, les améliorations frappent immédiatement à l’œil des connaisseurs de la suite, notamment avec l’apparition de signets automatiques, la possibilité d’intégration de fichier multimédia comme les vidéos en ligne, l’ajout d’un dictionnaire de définitions, le profil itinérant proposant la liste de ses documents ouverts précédemment à n’importe quel endroit où l’on se trouve et le nouveau mode « liseuse ».

Puisque le Cloud est désormais à la mode, Microsoft n’a pas hésité à apporter une touche de perfection à sa suite bureautique qui s’ouvre dans le monde du Cloud, via l’hébergeur SkyDrive. Redmond voulait offrir à ses utilisateurs, une meilleure condition de mobilité avec près de 7 Go d’espace de stockage virtuel disponible. On peut dire qu’il s’agit de l’un des atouts majeurs de la nouvelle suite, face à la demande de plus en plus croissante du modèle BYOD et la forte progression des ventes de tablettes sur le marché. En effet, mise à part cette nouvelle capacité d’enregistrement dans les nuages, Office 2013 profite également d’un support intégré avec des interfaces tactiles. Il est important de notifier qu’Office 2013 reste uniquement compatible sur Windows 7 et Windows 8. Par contre, les utilisateurs Mac sont invités à s’offrir la nouvelle version de Microsoft Office 2011.